En ces temps, bien que le printemps rime avec le troisième confinement, les bordelais sont à la flânerie. Le temps est doux, les bourgeons laissent leur place à des fleurs qui dissipent leur senteur et leur pollen à travers la ville. Et si la mobilité de chacun reste encore restreinte, l’envie de découverte, elle, ne s’arrête pas là. Pour cette…